Note de lecture 3 - La vie privée sacrifiée sur l’autel des réseaux sociaux,
Vincent Dufief, La vie privée sacrifiée sur l’autel des réseaux sociaux, mardi 20 novembre 2007, consulté le 20 janvier 2010,
http://www.ecrans.fr/La-vie-privee-sacrifiee-sur-l,2606.html
Dans cet article, Vincent Dulief pose un œil critique sur
les droits des personnes à travers des sites comme les réseaux sociaux.
Selon lui les réseaux sociaux (facebook étant le premier)
donne « une nouvelle dimension » aux dangers d’internet, selon lui
les utilisateurs « sacrifient leur propre vie privée », car dans ses
site il est nécessaire de se dévoiler aux autres pour pouvoirs accéder aux contes des autres. C’est une
sorte de cycle vicieux. Le danger est présent pas dans les divulgations des
données personnelles mais jusqu'à quelle limites (temps et espace) ces données sont elles utilisées (et dans
quel but ?).
Exposer sa vie (a travers images, vidéos, information
personnelles etc. .) peut porter atteinte a la vie privée .un
exemple : publier sur sa fiche une photographie d’un ami peut porter
celui-ci atteinte a sa vie privée, car il ne peut avoir un contrôle sur cette
mise en ligne.
Il expose que ces réseaux sociaux peuvent être des moyens
efficaces pour usurper l’identité d’un tiers a des fins d’escroqueries etc. La
mise en ligne de la vie privée d’enfants et d’adolescent est a long terme un réel danger .Se développe donc grâce à ces réseaux de sociabilisassions
un véritable fichier commun, « dont
nul n’est aujourd’hui capable de prévoir les utilisations futures et les
risques évidents de détournement, quels qu’ils soient ».
Un autre problème se pose, par rapport aux générations futur, avec ces réseaux sociaux ceux-ci pourraient perdre la notion de ‘protection de la vie privée », pour les jeunes il est devenue basique de divulguer et d’échanger des donnés a caractères privée. Et c’est par ce moyens que des millions d’informations de l’ordre de l’intime au par avant se retrouve sur la « toile » a la vue de tous. Il est donc nécessaire de donner aux jeunes une véritable notion de vie privée.
Le coter juridique doit aussi prendre part dans cette affaire, et mettre dans ces site une véritable protection de l’information personnelle. « L’absence de traduction française » dans les conditions d’utilisation serait un frein par rapport aux jeunes, pour mesurer les conséquences d’une telle mise en ligne des donnés privées.
Il y a également un problème quant aux « dommages pouvant être provoqués aux personnes par ces
sites » l’absence de procédure
judiciaire sur ces site rend difficile les éventuelles sanctions. De plus il
est parfois trop onéreux et compliqués pour de jeunes adolescents d’engager une
procédure pénale, afin de retirer tel ou tel cliché portant atteinte a sa vie privée.
« Il semblerait nécessaire de leur
proposer des procédures simples et rapides, adaptées à leur situation ; il
pourrait notamment s’agir de procédures simplifiées, privilégiant le retrait rapide
des contenus plutôt que la dimension punitive ou réparatrice. » Il
reste tout de même très important de changer certaines règles quant à la
protection des données privées.